Novo et Sanofi se tiennent à la culotte sur leurs tarifs : quand une insuline augmente, sa concurrente aussi.
L’opération est indétectable en France puisque leur seul client est l’Assurance Maladie (et les diabétiques hors du système de santé, à qui ça coûte un bras). Aux États-Unis c’est une autre affaire, comme le montre cette étude de Bloomberg.
Comment expliquer, ici, que l’Abasaglar, le biosimilaire de la Lantus fabriqué en Alsace par Lilly, soit presque aussi cher que l’original, alors que le coût des recherches est toujours invoqué pour justifier le prix élevé de ce médicament?
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