Non seulement nous devons nous farcir leur agressivité commerciale, leur communication à sens unique, leur emprise sur les autorités de santé, et leur insuline remboursée 50% au-dessus de ses concurrentes.
Non seulement la collectivité va devoir payer pour leur comportement irresponsable sur la Dépakine.
Mais il convient aussi désormais de leur prêter à taux négatif et surtout il faudra, encore une fois, que l’Etat-« stratège » renfloue ce bateau ivrelorsqu’il aura coulé. Comme si la GMF, le Crédit Lyonnais, Vivendi et Areva n’avaient servi à rien.
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